Les textes sacrés
Le 02/08 : article en cours de construction
Un peu de patience !
Intro
(Mahabarta, bible, etc) (article qui reprend les légendes citées dans la chapitre 2)
A travers les faits historiques décrits dans notre article consacré aux Sumériens, vous découvrirez quelques événements qui ont probablement influencé la rédaction de certains chapitres de la Genèse. Mais, dans un même temps, il ne faudra pas perdre de vue que la Bible par son inspiration divine revêt un caractère unique, notamment dans le sens et l'interprétation monothéiste qu'elle donne aux événements qu'elle relate, même si ceux-ci ont été influencés, voire empruntés à la civilisation sumérienne païenne.
Pour vous faire patienter, je vous invite à visiter cette page.
Texte 2
En cours
Titre 1
En cours
Un exemple de mythe sumérien :
Gilgamesh et la quête de l'immortalité.
Voici, en substance, un des épisodes les plus célèbres de la mythologie sumérienne : celui de Gilgamesh en quête de l'immortalité.
Cette légende nous est parvenue à travers des copies datant de 2000av JC.
Elle relate les exploits des héros et des dieux sumériens. Le plus célèbre de ces personnages est Gilgamesh, roi d'Uruk peu après 3000av JC. Il est l'un des tout premiers rois après le déluge.
"Gilgamesh se dirigea vers les montagnes du Liban pour chercher du bois de cèdre. Peut-être alla-t-il aussi jusqu'en Turquie. Sa quête de la vie éternelle le conduisit vers le Outnapishtim (le Noé sumérien). Celui-ci raconta au roi comment l'immortalité lui fut accordée après qu'il eut survécu au déluge. Il fut offert à Gilgamesh 2 chances d'atteindre l'immortalité. Mais il les gâcha toutes deux, il s'en retourna alors chez lui.
Gilgamesh en conclut que c'est seulement par sa renommée que le nom d'un homme peut lui survivre."
REM : Notez dans ce récit les différences entre le Noé biblique, qui n'est qu'un homme au service de Dieu, et, le Noé sumérien (Ziusudra en sumérien, Outnapishtim en akkadien et Atrahasis en Babylonien), qui est ici déifié, il possède l'immortalité ! Le récit apparaît ainsi bien plus fantastique et énigmatique que dans la Bible.
Remarquez également la touche pessimiste du texte et son côté terre à terre : on ne survit que par les actes que l'on a laissé de son vivant. La dimension verticale (céleste) est gommée. La Bible en insistant sur l'alliance entre Noé (l'humanité) et Dieu rétablit cette dimension d'espérance verticale (céleste).
Nous avons ici l'exemple typique d'une réinterprétation biblique d'un récit sumérien : celui du déluge et de l'après-déluge.
